s’est endormie pour toujours le 12 juillet 2007.
Nous avons été sensibles
à votre présence auprès d’elle
et à vos marques de sympathie à l’église, au cimetière et bien après.
Nous vous remercions pour elle
et savons qu’elle restera toujours dans vos cœurs.
Maryse ORTOLA-GARNIER
et Jean-Louis BERNARD Vanessa et Thomas DITYVON
Festibosco, Mai 2006La parabole du semeur, avec celle du fils prodigue, sont peut – être celles que nous connaissons le mieux. Quand nous connaissons bien une histoire, nous avons parfois tendance à ne pas être attentif et à nous dire : « Oui, je connais cette histoire, je sais qui est le semeur, le grain semé, les types de sol… »
Mais, le propre d’une parabole n’est – il pas justement qu’elle peut nous interpeller de différentes manières ?
Aujourd’hui, ce n’est peut –être pas la qualité de la terre qui retient mon attention, mais le semeur – celui qui sort, qui jette la semence sans savoir ce qu’il va récolter. Laissons nous interpeller par la générosité et l’espérance de celui qui sème. Il ne sait pas ce qui va germer.
Je peux m’arrêter sur l’efficacité du travail. Une partie de grains semés ne poussera jamais. Celui qui sème sait qu’une partie de son travail est inutile – ce n’est pas chaque grain semé qui portera du fruit. Cela ne l’empêche pas pour autant de semer. Comment comprendre cela dans un monde où tout nous pousse à rechercher un efficacité maximale, dans un monde ou rien ne doit être perdu et où la production doit être la plus grande possible pour un profit maximum ?
Je peux peut – être m’identifier au semeur. En tant que chrétien, par ma vie et dans mes paroles, ne suis – je pas appelé, moi aussi à annoncer le Christ mort et ressuscité ? De quelle manière est – ce que je sème, à mon tour cette Parole de Dieu que j’ai reçue ?... Généreusement ?... Avec parcimonie ?...Avec des peurs ?...
Et la terre, la bonne terre. La parabole ne mentionne pas tout le travail qui doit être effectué au préalable, avant le passage du semeur. Labourer la terre, la travailler, la défricher avec soin et patience, pour permettre à celui qui sème de récolter beaucoup de fruit… C’est peut – être avec ceux qui font ce travail, long et laborieux qui demande beaucoup de patience, que je m’identifie aujourd’hui.
Les Salésiens Coopérateurs de France se sont réunis au CJB de Lyon les 22 et 23 septembre.
L’occasion pour eux de tenir leur Assemblée Générale statutaire autour de
Le bilan d’année montra le dynamisme des centres locaux , leur goût de se retrouver chaque mois, et la richesse des actions menées au titre de la mission.
Mais l’essentiel de la rencontre allait porter sur les perspectives qui s’ouvrent avec la publication toute récente du nouveau PVA, du Projet de Vie Apostolique des Salésiens Coopérateurs. Il s’agit en fait du renouvellement de ce qui s’appelait auparavant Règlement de Vie Apostolique. Le travail de révision de ce texte a été accompli par l’Association à travers le monde entier (une Association qui compte 35.000 membres). Ce travail reste très fidèle à l’inspiration originelle de Don Bosco, mais il se veut aussi la réponse chrétienne et salésienne aux nouveaux défis du monde.
Ce PVA renouvelé est pour le Salésien Coopérateur sa « carte d’identité » dans l’Eglise, dans la Famille salésienne et dans la société, un véritable « livre de vie ». C’est aussi une grande occasion de relance de l’Association pour réaffirmer l’identité de « la spiritualité salésienne » et sa richesse, et pour réfléchir à la mission et à l’engagement apostolique au service des jeunes en particulier, au sein de
A Lyon, les 40 Coordinateurs et Délégués présents (hommes et femmes, religieux, religieuses et laïcs) ont travaillé et réfléchi avec beaucoup d’application sur leur fonctionnement dans les centres locaux, sur l’équilibre à trouver entre l’être et le vivre, et sur l’accueil à réserver aux personnes qui veulent rejoindre leur association. L’accent a été mis sur la meilleure connaissance qu’il faut toujours avoir sur la vocation spécifique qui est la leur dans l’Eglise, le monde et la Famille salésienne. Ceci va de pair avec « l’esprit salésien » auquel il faut toujours se former personnellement et avec l’aide de l’association, pour mieux vivre la mission apostolique à la manière de Don Bosco. Une formation permanente.
Ce week-end lyonnais fut sans nul doute pour l’Association des Salésiens Coopérateurs un temps fort de travail, de prière, mais aussi de très grande convivialité. A voir l’ambiance chantante et « pétillante » de la veillée du samedi soir, animée par le groupe de Binson, la devise de Don Bosco reste toujours très attrayante : « Laetare et bene facere… Soyez joyeux et faites du bien » !
Job INISAN
Elisabeth GOUIN, Conseillère (Lyon) ; Marie-Claude BERTHELIER, Conseillère (Paris) ; Christine MEAUX, Coordinatrice provinciale (Argenteuil) ; Marie-Hélène PEZZOLI, Secrétaire (Saint Cyr sur Mer) ; Valérie Thiry, Conseillère (Saint Dizier) ; Jacques LANGLART, Trésorier (Lille) ; Sr Suzanne, Déléguée (Paris) ; P. Jean-Noël CHARMOILLE, Délégué (Paris) ; Philippe DEVANNE, Conseiller (Angers) ; Christian LANCIOT, conseiller (Binson)
